Bastia,noire et blanche...
| bedojo |
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 Vieux briscard Messages : 9237Depuis le 19 mai 2010 corse  |
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| cabecou |
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Spécialiste Messages : 1988Depuis le 31 juil 2009 Cahors |
je ferais pas avancer le debat en disant que j aime les photos de bedojo
j analyse pas specialement les images, ca me parle ou pas une chose est sure c est que le gars derriere l appareil est doué et possede un oeil affute et puis c est un Corse, vaut mieux pas trop les contrarier ces gens la  "Si tu travailles avec un marteau-piqueur pendant un tremblement de terre, désynchronise-toi, sinon tu travailles pour rien." JCVD |
| bedojo |
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Vieux briscard Messages : 9237Depuis le 19 mai 2010 corse |
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| bedojo |
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Vieux briscard Messages : 9237Depuis le 19 mai 2010 corse |
Bonsoir,
la lumiere de Bastia... A 
B 
C 
D 
E 
F 
G 
H I 
I 
tri x  |
| Yannick O. |
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 Vieux briscard Messages : 3181Depuis le 3 jan 2010 Paris |
L'incipit est parfaitement adéquat, dans la mesure où, à l'inverse de ce à quoi tu nous as habitué, ces photographies sont lumineuses. C'est le côté lumière de Bastia (qui ne fait bien évidemment pas l'économie des ombres qui structurent chaque image, de ce sol y sombra que tu prends le soin de saisir et de mettre en mouvement).
On reconnaît toutefois immédiatement ton regard, ce très léger "décadrage", cette impression de mouvement, de chute lente. Cela constitue un contrepoint parfait aux images qui précèdent. Merci. PS : si tu me permets cette très légère critique - tu connais la phrase de Beaumarchais, qui a pour seul défaut de figurer en frontispice d'un canard peu avenant -, les photos E, H et I me paraissent plus anecdotiques. |
| punkrocker |
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 Vieux briscard Messages : 5762Depuis le 9 août 2008 trop loin de la Bretagne... |
bon, pour cette merveille incroyable qu'est la D, je te pardonne d'avoir poster la E ah tiens, je suis sur flickr |
| stephane_marco |
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 Membre des Amis Messages : 10418Depuis le 14 juil 2010 Yonne |
Belle série mais c'est vrai que la E me semble pas être a sa place  |
| bedojo |
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Vieux briscard Messages : 9237Depuis le 19 mai 2010 corse |
Quel dommage que vous n'aimiez pas le poisson
en fait je n'ai pas bien sû la developper...je vous assure que c'etait tres beau sur place...mais je l'ai sûrement sur-évaluée... Merci a vous |
| cabecou |
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Spécialiste Messages : 1988Depuis le 31 juil 2009 Cahors |
citation : On reconnaît toutefois immédiatement ton regard, ce très léger "décadrage", cette impression de mouvement, de chute lenteje n aurais pas su dire mieux d ailleurs je ne l ai pas dit, c est cette facon de photographier que j adore dans tes images "Si tu travailles avec un marteau-piqueur pendant un tremblement de terre, désynchronise-toi, sinon tu travailles pour rien." JCVD |
| Bacchus |
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 Spécialiste Messages : 1866Depuis le 24 jan 2012 Paris |
punkrocker a écrit : bon, pour cette merveille incroyable qu'est la D, je te pardonne d'avoir poster la E Entièrement d'accord, quelle image cette D! Les autres n'étant pas en reste, comme toujours. Gros défi à relever si tous les soirs nous avons droit à une série de plusieurs photos de ce niveau
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| Paradoxal |
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 Membre des Amis Messages : 7931Depuis le 12 fév 2006 Belgique |
Très belle série baignée de lumière.
Personnellement, j'apprécie car tes crépuscules me paraissaient à la longue passablement oppressants. Paradoxal |
| ludovico |
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 Vieux briscard Messages : 6040Depuis le 3 déc 2010 Italie |
Très belle série, coup de coeur pour la D et la F  |
| bedojo |
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Vieux briscard Messages : 9237Depuis le 19 mai 2010 corse |
Merci a vous...
Ah! les crepuscules, Daniel...les crepuscules! que de scenes photographiques , d'emotions, de promesses tenues ou pas, au crépuscule...Le summilux a été inventé a mon avis pour photographier le crépuscule
Voici un poeme de Baudelaire que je connaissais par coeur. Pour la peine tu le reliras 100 fois
"Le crépuscule du soir" Voici le soir charmant, ami du criminel ; Il vient comme un complice, à pas de loup ; le ciel Se ferme lentement comme une grande alcôve, Et l'homme impatient se change en bête fauve. Ô soir, aimable soir, désiré par celui Dont les bras, sans mentir, peuvent dire : Aujourd'hui Nous avons travaillé ! - C'est le soir qui soulage Les esprits que dévore une douleur sauvage, Le savant obstiné dont le front s'alourdit, Et l'ouvrier courbé qui regagne son lit. Cependant des démons malsains dans l'atmosphère S'éveillent lourdement, comme des gens d'affaire, Et cognent en volant les volets et l'auvent. A travers les lueurs que tourmente le vent La Prostitution s'allume dans les rues ; Comme une fourmilière elle ouvre ses issues ; Partout elle se fraye un occulte chemin, Ainsi que l'ennemi qui tente un coup de main ; Elle remue au sein de la cité de fange Comme un ver qui dérobe à l'homme ce qu'il mange. On entend çà et là les cuisines siffler, Les théâtres glapir, les orchestres ronfler ; Les tables d'hôte, dont le jeu fait les délices, S'emplissent de catins et d'escrocs, leurs complices, Et les voleurs, qui n'ont ni trêve ni merci, Vont bientôt commencer leur travail, eux aussi, Et forcer doucement les portes et les caisses Pour vivre quelques jours et vêtir leurs maîtresses. Recueille-toi, mon âme, en ce grave moment, Et ferme ton oreille à ce rugissement. C'est l'heure où les douleurs des malades s'aigrissent ! La sombre Nuit les prend à la gorge ; ils finisssent Leur destinée et vont vers le gouffre commun ; L'hôpital se remplit de leurs soupirs. - Plus d'un Ne viendra plus chercher la soupe parfumée, Au coin du feu, le soir, auprès d'une âme aimée. Encore la plupart n'ont-ils jamais connu La douceur du foyer et n'ont jamais vécu ! Ch. Baudelaire C'est pas angoissant,ça? tu vois qu'on aurait besoin d'un summilux pour immortaliser tout celà |
| Paradoxal |
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Membre des Amis Messages : 7931Depuis le 12 fév 2006 Belgique |
Je prends quelques mots au hasard.
"Criminel, démons malsains, prostitution, cité de fange..." et je pourrais continuer. Cela confirme donc bien ce que j'en disais ! Re- Paradoxal |
| bedojo |
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Vieux briscard Messages : 9237Depuis le 19 mai 2010 corse |
Je ne connais aucun photographe de renom, tes idoles comprises, qui ne se soit pas "roulé", a un moment ou à un autre de leur vie et de leur carrière dans cette fange...
J'ai choisi ce poeme pour illustrer justement le terme "oppressant" que tu utilisais lors de ta premeire intervention. Tu ne dois pas beaucoup aimer le photographe de Magnum Antoine d'Agata ... |
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