
Le Palazzo Grassi expose plus d'une centaine de tirages de photographies d'Irving Penn, tous tirages faits par lui-même.
Beaucoup sont connus, et pour cause, mais les voir ainsi génère une émotion certaine.
Une promenade dans le temps avec l'accumulation technique, notamment des "dye transfer" extraordinaires ou des "platine/palladium" somptueux qui s'imposent progressivement.
L'idée d'un studio mobile pour aller photographier différentes ethnies a fait des émules depuis. On peut remercier Vogue et Liberman d'avoir poussé Penn dans ce sens.
Quelques superbes photos de sa femme Lisa, des portraits magnifiques de célébrités diverses, mais aucun auto-portrait.
Cette série tardive (1988, je crois me souvenir) est faite de tirages virés au selenium : définition et gamme de gris !

Chose curieuse, malgré un WE d'affluence à Venise, il n'y avait pas un chat à cette expo...
Espérons que le propriétaire, ie François Pinault, aura la bonne idée de les exposer aussi à Paris
Beaucoup sont connus, et pour cause, mais les voir ainsi génère une émotion certaine.
Une promenade dans le temps avec l'accumulation technique, notamment des "dye transfer" extraordinaires ou des "platine/palladium" somptueux qui s'imposent progressivement.
L'idée d'un studio mobile pour aller photographier différentes ethnies a fait des émules depuis. On peut remercier Vogue et Liberman d'avoir poussé Penn dans ce sens.
Quelques superbes photos de sa femme Lisa, des portraits magnifiques de célébrités diverses, mais aucun auto-portrait.
Cette série tardive (1988, je crois me souvenir) est faite de tirages virés au selenium : définition et gamme de gris !

Chose curieuse, malgré un WE d'affluence à Venise, il n'y avait pas un chat à cette expo...
Espérons que le propriétaire, ie François Pinault, aura la bonne idée de les exposer aussi à Paris
