Chez Rodrigue.

L'heure était grave et l'enjeu d'importance.
Ses cheveux avaient librement poussés, selon son souhait. Elle se les imaginait descendant librement le long de son dos, jusqu'à ses reins.
Mais, des squatters en colonies s'étaient sournoisement infiltrés dans la tignasse.
De longues semaines d'une lutte acharnée n'avaient pû en venir à bout... ils étaient devenus des mutants! Insensibles aux poudres et liquides de la pharmacopée du 21ème siècle, ils revenaient sans cesse.
Il fallait agir !
Un mois de négociations et de pourpalers, des promesses et du chantage : elle avait cédé !
Nous avions rendez-vous chez Rodrigue...
Acceuil sur mesure, sourriant, presqu'enjoué. L'assistante du "Maestro" lui passa la blouse, le doute revenait...
Dans la l'ombre de la première chambre de torture. Passage du doute à la tension.
Et voila! On y était, le "bourreau" officiait, détendu, heureux de vivre! Il achevait juste une autre victime inconsciente de sont sort. Lilou compris alors qu'elle ne pouvait plus reculer.
L'angoisse était là. Il ne restait plus pour elle qu'à espérer de toutes ses forces pour que le dangereux maniaque succombe à une crise cardiaque !
Mais, non seulement il ne semblait pas décidé à se porter plus mal, il plaisantait avec l'assemblée présente tout en accomplissant son forfait à la vitesse de l'éclair !
Je compris à son regard qu'elle regettait de ne pas avoir mémorisé le numéro vert "d'enfance maltraité" que je lui recommande lorsqu'elle proteste contre les ordres ineptes de ses parents...
Comme nous ne lui avions pas appris de prières, Lilou se réfugia dans la prostration, tandis que Rodrigue l'achevait au sèche-cheveux.
CONSTERNATION!!!
"Rien à fiche du regard des garçons ! Que vont dire les copains à l'école... Dis, Papa, est-ce que je ressemble à un garçon???".
M5. Cron 35. Cron 50 rentrant. Tri x.
Ses cheveux avaient librement poussés, selon son souhait. Elle se les imaginait descendant librement le long de son dos, jusqu'à ses reins.
Mais, des squatters en colonies s'étaient sournoisement infiltrés dans la tignasse.
De longues semaines d'une lutte acharnée n'avaient pû en venir à bout... ils étaient devenus des mutants! Insensibles aux poudres et liquides de la pharmacopée du 21ème siècle, ils revenaient sans cesse.
Il fallait agir !
Un mois de négociations et de pourpalers, des promesses et du chantage : elle avait cédé !
Nous avions rendez-vous chez Rodrigue...

Acceuil sur mesure, sourriant, presqu'enjoué. L'assistante du "Maestro" lui passa la blouse, le doute revenait...

Dans la l'ombre de la première chambre de torture. Passage du doute à la tension.

Et voila! On y était, le "bourreau" officiait, détendu, heureux de vivre! Il achevait juste une autre victime inconsciente de sont sort. Lilou compris alors qu'elle ne pouvait plus reculer.

L'angoisse était là. Il ne restait plus pour elle qu'à espérer de toutes ses forces pour que le dangereux maniaque succombe à une crise cardiaque !

Mais, non seulement il ne semblait pas décidé à se porter plus mal, il plaisantait avec l'assemblée présente tout en accomplissant son forfait à la vitesse de l'éclair !

Je compris à son regard qu'elle regettait de ne pas avoir mémorisé le numéro vert "d'enfance maltraité" que je lui recommande lorsqu'elle proteste contre les ordres ineptes de ses parents...

Comme nous ne lui avions pas appris de prières, Lilou se réfugia dans la prostration, tandis que Rodrigue l'achevait au sèche-cheveux.

CONSTERNATION!!!

"Rien à fiche du regard des garçons ! Que vont dire les copains à l'école... Dis, Papa, est-ce que je ressemble à un garçon???".
M5. Cron 35. Cron 50 rentrant. Tri x.