Cela me fait penser à la pièce de théâtre "Art" de Yasmina Reza...
Ca peut vous paraitre curieux de comparer la pièce de théâtre "Art" de Yasmina Reza et vos discussions autour des M10 Monochrome ou le M11 Monochrome et même Q3 monochrome.
Bien que ces deux sujets semblent éloignés — l'un étant une exploration de la relation humaine à travers le prisme de l'art, l'autre un débat sans fin, tantôt étayé, tantôt stérile, sur la technologie photographique,
Bref, on peut toutefois établir plusieurs parallèles intéressants, notamment sur le concept de subjectivité, la notion de pureté, et la recherche de sens.
Les monochromes Leica reposent sur la tension entre subjectivité, pureté, et authenticité. Dans les deux cas, il s'agit d'une exploration de la manière dont la simplicité peut susciter de profondes émotions et débats. Tandis que la pièce de Reza met en lumière les divergences de perception face à une œuvre d'art moderne, les Leica monochrome invitent à une nouvelle lecture de la photographie, réduite à son essence sans le filtre de la couleur, un retour aux fondamentaux. Mais la différence est tellement subtile qu'elle échappe au plus grand nombre
